PRESENTATION DU GROUPE

Publié le par jc




Groupe arlésien fondé en 1996, par  Jack Bertet,
Leur leitmotiv est simple : faire des concerts intimistes dans un bar ou dans une soirée privée pour rendre heureux et faire bouger, un large public émoustillé par un petit verre, sur des rythmes des années 60 à 80. Leur répertoire, varié et bien fourni, saura vous faire vibrer sur un standard rock 'n'roll à la Johnny Hallyday ou vous enlacer sur un slow à la Eddy Mitchell. Vous swinguerez sûrement sur un    "Dancing in the Street" percutant de cuivres et soul à souhait, suivi par un "Hot Stuff" rempli de strass et de paillettes, pour croiser enfin une version musclée de la "Fille du père noël". Heureusement entre temps,  vous aurez fait une halte, et assis en tailleur, vous écouterez une mélodie folk à la Murray Head. Sans vous en rendre compte en quatre heures de concert, vous aurez traversé trois décennies et partagé avec le groupe, quelques bons vieux standards de la musique. La musique pour eux, c’est pas la prise de tête, c’est polyvalent, chacun prend le micro, puis reprend son instrument de prédilectio composé actuellement de 7 musiciens tous issus de différents horizons musicaux souvent aux antipodes les uns des autres. Sur scène, leur fougue, leur mixité et leur sincérité entraînent une interprétation originale des morceaux. L’étiquette se décolle, les styles se mélangent et colorent un répertoire revisité dont l’intention reste la même, donner et prendre du plaisir.

 






On se fait des échanges de voix, on rallonge
une partie, on improvise, on se regarde, on se
sourit… tout en faisant partager au public
cette complicité familiale.
C’est vrai que c’est familial ! On trouve d’abord
le patriarche de la tribu, Jean GiL, l’homme en
noir, chanteur bassiste, rocker invétéré, qui ne
s’est jamais remis des années 80. Au chant
principal et aux chœurs, c’est sa complice Ingrid,
 la benjamine, une petite elfe délurée, digne
héritière de Suzanne Vega. Mais n’oublions surtout
 pas le gendre idéal, Sébastien, dont la
guitare cristalline et magique, peut en un
instant devenir pleurante ou distortionnée selon
son humeur. Par contre, rien ne serait possible
sans l’incontournable monsieur « quart de tour », Fabrice, l’assise rythmique du groupe, le métronome humain. Et enfin la section de cuivres, menée d’une bouche de maître par Jean-Christophe qui
souffle dans son trombone, jusqu’à en
perdre connaissance, et qui pousse parfois
la chansonnette, avec une voix rocailleuse, digne d
’un lendemain de jour de l’an. Il est suivi de près
par son compère David l’homme à la Trompette d’Or, et enfin pour terminer Dodo, saxophoniste
-percussionniste qui réveillera en vous le démon de
la danse et en plus… rien que pour votre plaisir !!!


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